MENDIANT DE L'AMOUR
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Seul dans mon lit
je pense à toi
toute nue
et je sens mon cœur
qui bat
et qui joue
la mélodie do bonheur
par le diapason
de la passion
qui fleurit
dans mon esprit
et rajeunit
mon corps
Hier encore
t’étais une femme
sans allégresse
au bord
de la déprime,
en détresse,
qui criait sa haîne
et noyait son regard
dans les larmes
de sa peine
Aujourd’hui,
j'ai le plaisir
de te parler
de te sourire
et de m’enchanter
avec toi,
muse sublime,
et en secret
je nouris l'espoir
de t'appartenir
et de te chérir
Alors,
quand je pense à toi,
je rêve
de me perdre dans tes bras
et d’être le gardien
de tes nuits
après nos ébats
et nos folies
d’amour…
Moi aussi,
j’ai dans le cœur
la mélodie
du bonheur
mais j’ai peur
de ne pas pouvoir
la jouer
pour toi
un jour
et de la garder
en moi
pour toujours
Je ne veux pas
qu’elle reste stérile
et muette,
cachée
dans l'ombre de mes veines,
car je commence
à perdre la tête,
à te désirer,
à t’aimer
et à sentir le besoin
de toucher ta main,
de t’embrasser,
de te sourire,
de caresser ta peau
et de te montrer
comme mon cœur est beau
Mon rêve reste flou,
car j’ai peur,
je t'avoue,
de souffrir,
de ne jamais arriver
à bon port,
de te voir partir
pour un voyage
sans retour
et de rester,
jusqu'à ma mort,
un éternel
mendiant de l’amour…
LUD
MacMartinson
2006
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